Bûcheron : (1786 à Villeneuve Saint-Salves) (Altération par influence de bûche, de l'ancien français boscheron, de bosc, forme primitive de bois). Personne dont le métier est d'abattre des arbres dans une forêt. 
 

Charbonnier : (1804 à Arras) Relatif à la fabrication ou à la vente du charbon.
L'acte de mariage dont-il est question ici, célébré à Arras en 1804, qualifie l'époux de "charbonnier au rivage". Grâce à Jean-Louis Morel et à René Lagache, j'ai découvert que la place de l’ancien rivage à Arras était un lieu d’accostage de bateaux et de déchargement, d’ou la dénomination du lieu. Je pense que cet ancêtre déchargeait le charbon des péniches abordant au rivage d'Arras.
 

Charpentier : (1854 à Boutigny sur Essonne) Ouvrier qui exécute des travaux de charpente.
Exemple de contrat d'apprentissage.
 

Ébéniste : (1885 à Montargis) 1- Menuisier qui travaille les bois de placage pour meubles de luxe. 2- Ouvrier qui fabrique ou répare toutes sortes de meubles.
 

Marchand de bois : (1857 à Gurgy) Personne dont le métier est de vendre des produits, en l'occurrence, il s'agit ici de bois.
 

Menuisier : (1881 à Blet) 1- Entrepreneur, artisan, ouvrier produisant des ouvrages en bois pour le bâtiment, ou des meubles sans placages ni ornements. 2- Ouvrier qui fabrique de menus objets.
 

Sabotier : (1813 à Montigny la resle) Personne qui fait ou vend des sabots. (en 1842, le sabotage désigne l'action de fabriquer des sabots). 
 

Scieur de long : (1799 à Villeneuve Saint-Salves) Ouvrier qui procédait au sciage à la main de grandes pièces de bois dans le sens du fil.
 

Tonnelier : (1767 à Fécamp) Fabricant ou réparateur de tonneaux.