Ancêtres de Olivier, Sébastien et Julie LEFEBVRE

Notes

148. Jean CONJAUD.

Naissance 8 décembre 1762, hameau de Maury.

Mariage 18 ventôse an IV, 8 mars 1796, hameau de la Rougerie.

Décès 11 octobre 1838, hameau de Paulhac.

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149. Léonarde ROYER.

Naissance 30 mai 1771, hameau de la Rougerie.

Décès 5 juin 1834, hameau de Paulhac.

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150. François DEBERNARD

Naissance 1er novembre 1752, hameau de Paulhac.

Mariage 19 février 1787, hameau de Paulhac.

Décès 17 vendémiaire an XII, 11 octobre 1803, hameau de Paulhac.

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151. Marguerite ESCABILLON.

Naissance 22 mai 1767, hameau d'Escabillon.

Décès 6 septembre 1834, hameau de Paulhac.

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152. Jean-Baptiste DAVID DE CONFLANS.

En 1782, il est admis au collège royal de la Flèche :

Nouveau d'Hozier 115, dossier 2384, F° 29.

Procès verbal des preuves de la noblesse de Jean-Baptiste David de Conflans, agréé par le Roi pour être admis au nombre des gentilhommes que Sa Majesté fait élever dans les écoles royales militaires.

I° degré. Produisant :
Jean-Baptiste David de Conflans 1771.
Extrait des registre des baptêmes de la paroisse de Fontenouilles, diocèse de Sens et élection de Joigny, portant que Jean-Baptiste, fils de Messire Honoré David de Conflans, seigneur de Truchien, ancien capitaine au régiment de Béarn, chevalier de l'ordre royal et militaire de St-Louis, et de Dame Philipine-Joséphine de Bacquehem, son épouse, naquit le 29 d'août 1771 et fut baptisé le même jour. Cet extrait signé Gilon curé de Fontenouilles et légalisé.

2° degré.  Père :
Honoré David de Conflans - Philippine Joséphine de Bacquehem, sa femme 1763.

3° degré. Ayeul :
Pierre de David du Perthuis - Marie-Anne de Birague, sa femme 1718.

4° degré. Bisayeul :
Jacques-Philippe de David - Jeanne Pertat, sa femme 1683.

Nous, Antoine-Marie d'Hozier de Sérigny, Chevalier, Juge d'Armes de la Noblesse de France, et en cette qualité Commissaire du Roi pour certifier à Sa Majesté la noblesse des élèves de l'école Royale Militaire et du Collège de la Flèche, Chevalier Grand Croix honoraire de l'ordre royal de St Maurice de Sardaigne.

Certifions au Roi que Jean-Baptiste David de Conflans a la noblesse nécessaire pour être admis au nombre des gentilhommes que Sa Majesté fait élever dans le Collège Royal de la Flèche.

(Signé) D'HOZIER DE SERIGNY

Agé de 18 ans en 1789, il a, semble-t-il, bien géré cet épisode historique, puisqu'on le retrouve maire de Fontenouilles en 1818. D'après la rumeur familiale, Jean-Baptiste aurait perdu le château de Truchien lors d'une partie de cartes disputée contre un marquis.

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160. Claude BERRY

Le mercredi 28 juin 1809, l'arrière arrière grand-père d'Alice Andrée PETIT (soza 11), Laurent victor Tribaudaut, vigneron, épousa Marie-Anne Naslos à Turny. A 110 kms de là, à Lorris, il y a beaucoup d'animation car le mariage entre les arrières arrières grands-parents de Gaston Georges BERRY (soza 10), Claude Berry, vigneron, et Marie Delacour, doit être célébré le jeudi 29 juin 1809 . Ils ne se doutaient pas que leur descendances se réuniraient 123 ans plus tard pour fonder notre famille.

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172. Louis AUBOUARD

"... certifie que le nommé Aubouard Louis de la commune de Souvigny canton d'Yzeure domicilié à Lyon à concouru au tirage du canton de Souvigny pour la classe de mil huit cent dix sept, a eu le numéro quatre vingt dix huit et a été exempté par le conseil de révision le trente novembre mil huit cent dix huit pour avoir extrait un numéro supérieur  au dernier compris dans le contingent".

En 1832, Louis était "Garde piquet au canal latéral à la Loire".
Pour rendre la navigation, sinon facile, du moins plus commode, "la communauté des marchands fréquentants la rivière de Loire et fleuves descendants en ycelle" avait poursuivi pendant des siècles un puissant et persévérant effort qui fut pour l'essentiel sa raison d'être. Chaque année, en utilisant les ressources que lui procurait le "droit de boëtte" levé à cet effet en trois points du cours du fleuve, à la Charité, à Saumur et à Nantes, elle faisait nettoyer et baliser au printemps, au début de chaque campagne de navigation, le lit mineur de la Loire. Deux opérations conjointes étaient menées par les baliseurs, désignés par l'adjudication au moins disant, qui avait lieu à Orléans, au siège de l'association. Le nettoyage, qui portait en principe autant sur le cours même de la Loire et de ses affluents que sur les annexes constituées par les chemins de halage, consistait en travaux d'entretien, extirpation de rochers, de pieux et de bâtons ou enlèvement de troncs d'arbres qui menaçaient la circulation normale des bateaux. Le balisage, poursuivi parallèlement, avait pour fin de jalonner le chenal le plus pratique pour les mariniers ; il s'agissait de piquer dans les fonds sableux, vaseux ou pierreux des gaules de saule ; sur la droite, on laissait au bout de ces gaules un bouquet de feuilles tandis que sur le côté gauche du chenal délimité, elles étaient cassées au bout, un morceau pendant à angle aigu, avant d'être mises en place.

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